La danse néoclassique

Niveau avancé

Michel Fokine, puis entre autres George Balanchine (Apollon musagète en 1928), Serge Lifar (Les Créatures de Prométhée en 1929), Ninette de Valois (Job en 1931) se démarquent de l’esthétique linéaire du ballet du XIXe siècle et intègrent peu à peu les formes angulaires et les articulations brisées.

Dans la seconde moitié du XXe siècle, des chorégraphes comme Frederick Ashton (Les Rendez-vous en 1933), Roland Petit (Le Jeune Homme et la Mort en 1946), Maurice Béjart, ou plus récemment John Neumeier, Jiří Kylián, Thierry Malandain, ou William Forsythe développeront considérablement cette conception en actualisant la tradition académique et en lui donnant un véritable vocabulaire original. Par certains aspects, l’écriture d’Angelin Preljocaj peut être aussi associée à la danse néoclassique.

LundiMardiMercrediJeudiVendrediSamedi
19h45-21h15

Néoclassique adultes

18h45-19h45
Néoclassique
ados